Réalisé avec le logiciel After Effects.
Toutes les images « scéniques » sont générées par des anamorphoses du corps des interprètes « calculées » par le logiciel After Effects. Le parti pris est celui d’une scénographie numérique dans laquelle le montage serait banni. La 3D multiplie les couches d’images pour produire un espace feuilleté qui ne cherche pas à imiter la profondeur naturelle de la scène. L’œil du spectateur ne dispose donc pas du confort convenu d’une profondeur de champ fictive. Ici c’est une oreille qui voit et accompagne l’évolution des formes au plus près du cheminement poétique.
Création au festival de Querbes en
2000